Jean Louis

Président

Quand j’ai démarré le taï-chi-chuan, j’étais à la recherche de quelque chose qui me ferait du bien au dos.

J’avais déjà essayé d’autres arts martiaux : kendo, aikido et un peu exploré d’autres disciplines plus orientées vers le « lâcher-prise » : eutonie.

En 1994, un copain (que je dénonce et remercie, c’est Steeve) m’a dit qu’un groupe enseignait le taï-chi-chuan à Nevers depuis un an : j’y suis immédiatement allé. Au début, je ne savais pas trop ce que je faisais… Je n’ai pas trouvé la détente tout de suite, mais cela m’a remis « les pieds sur terre » : le plaisir du mouvement, la vérité des tests pratiqués à deux, arrêter de se poser trop de questions…

Un peu plus tard, on m’a proposé de devenir président de l’association : je ne voyais pas ce que je pouvais apporter à Hexagramme, mais petit à petit, en accord avec Michèle, j’ai trouvé une place : faire en sorte que ça tourne, cours, stages, démonstrations, relations avec la mairie pour trouver des lieux de pratique.

Le taï-chi-chuan me fait du bien, pourvu que ça dure…

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